Compléments alimentaires : à quoi ça sert vraiment ?

A l’entrée de l’hiver, ou au moment de la rentrée scolaire, on entend beaucoup parler des compléments alimentaires. En effet, on nous promet souvent des miracles sur notre corps : amincissement de la sangle abdominale, beauté des cheveux et des ongles, prise de masse musculaire…

Il n’est pas toujours évident de savoir si les effets promis vont effectivement se réaliser. Par ailleurs, comment s’y retrouver dans toutes les informations que l’on nous vend : les compléments alimentaires sont-ils vraiment utiles ? Pour plus de renseignements, vous pouvez également vous rendre sur cette page.

Une définition stricte et encadrée législativement

Les compléments alimentaires sont définis de façon précise par la directive 2002/46/CE du Parlement européen, transposée par le décret du 20 mars 2006. Ceux-ci désignent des « denrées alimentaires dont le but est de compléter le régime alimentaire normal ». Ils doivent apporter une source de nutriments, et d’autres substances qui ont un effet nutritionnel ou physiologique pour l’être humain.

Aussi, ces compléments sont commercialisés sous doses, c’est-à-dire sous forme de sachets, de gélules ou encore de poudres que vous pouvez rajouter dans vos boissons ou vos yaourts. Il est bien précisé que ceux-ci ne sont pas des médicaments : ils ne peuvent pas être utilisés seuls, mais au sein d’une alimentation riche et variée.

Plus d’informations en consultant cet article.

Si vous vous rendez en pharmacie, en supermarché, ou que vous commandez sur internet, vous allez avoir accès à différents types de compléments alimentaires. Ils ont chacun des apports nutritifs différents, mais ont pour but commun d’améliorer le fonctionnement de l’organisme.

Il n’est pas rare en effet que l’usage de ces compléments alimentaires agisse comme un effet « coup de boost » sur le corps humain. Voici ci-dessous un tour d’horizon sur les principaux composés que vous pouvez trouver en libre distribution.

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Les vitamines : un condensé d’énergie

Ce sont sans aucun doute les plus connus de tous les compléments alimentaires. On les utilise généralement en cas de carence, car le corps ne parvient pas forcément à synthétiser toutes les vitamines. On conseille d’utiliser toute la gamme de la vitamine B (B1, B2, B3, B5, B6 et B9) pour permettre au corps de synthétiser le sucre et renforcer ses défenses immunitaires.

La vitamine C donne à l’organisme un coup de boost d’énergie supplémentaire en période de fatigue. La vitamine B12 quant à elle, permet de maintenir l’équilibre nerveux.
Cliquez ici si vous souhaitez un témoignage sur l’usage de vitamines.

Les protéines, pour la musculature et la mémoire

Ce sont les compléments alimentaires préférés des sportifs. En effet, vous pouvez avoir recours à des protéines d’origine animale, végétale ou de synthèse. La liste est longue, et certaines substances sont particulièrement controversées comme la créatine. Vous pouvez également vous tourner vers des compléments naturels en oméga 3 et acides aminés, comme l’huile de foie de morue ou encore la mâche.

Les minéraux et oligo-éléments, le bien être corporel

Impossible de faire le tour des compléments alimentaires sans évoquer les fameux magnésium, sélénium et fluor ! Le magnésium est connu pour ses propriétés équilibrantes, surtout au niveau du système nerveux, tandis que le sélénium est utilisé en particulier pour ses propriétés anti-oxydantes.

Le fluor quant à lui, est recommandé dans le cadre de l’hygiène bucco-dentaire. La particularité de ces « stars » des compléments alimentaires ? Ils sont souvent utilisés au sein d’autres mélanges, dans le cadre d’une cure.

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Les plantes, pour éliminer plus facilement

Enfin, on utilise des compléments alimentaires à base de plantes pour brûler et déstocker les graisses. Vous pourrez donc vous tourner vers des mélanges à base de fenouil, d’artichaut ou encore de reines des prés en fonction de ce que vous recherchez.

Dans tous les cas, il est recommandé de consommer ces compléments avec parcimonie, et de se rappeler que ceux-ci ne doivent remplacer en rien une alimentation équilibrée.

Toute l'équipe astuce-santé vous souhaite la bienvenue, cher internaute en quête de réponses. Et des réponses, nous en avons plein notre besace puisque nous veillons à communiquer, via les articles publiés sur ce blog, un maximum d'informations fiables et vérifiées concernant la santé, de l'alimentation jusqu'aux pratiques médicales dans tous leurs états. Peut-être cherchez vous à comprendre l'origine de vos maux ? Ou peut-être voulez-vous simplement en savoir plus sur les astuces à appliquer au quotidien pour être en bonne santé ? Nous vous souhaitons une agréable lecture et, le cas échéant, un bon rétablissement !

    Bigorexie : quand le sport rend malade

    La bigorexie est une maladie reconnue par l’Organisation Mondiale de la Santé, qui touche aussi bien les sportifs de haut niveau comme les athlètes amateurs. Cette addiction se définit comme un besoin irrépressible et compulsif de pratiquer un effort sportif, en vue d’obtenir des résultats immédiats, et ce, malgré des conséquences négatives sur l’état mental et physique de la personne.

    En général, on diagnostique assez rapidement cette maladie, mais il est en revanche beaucoup plus compliqué de s’en sortir. Zoom sur cette maladie méconnue et pourtant très répandue. Et pour lire le témoignage d’une personne souffrant de bigorexie, consultez cet article.

    Quelles sont les causes de cette addiction ?

    On estime qu’en moyenne 15% des personnes qui pratiquent du sport tous les jours peuvent être touchés par la bigorexie. Et plus, encore, les sportifs qui s’entraînent plus de dix heures par semaine sont les principaux concernés par cette addiction. A l’origine, les sportifs les plus touchés étaient les culturistes, mais depuis toutes les disciplines sont concernées. Les causes de cette maladie sont nombreuses, mais on recense les facteurs à risques suivants :

    • la quête de la minceur
    • l’objectif de prise de masse musculaire
    • le besoin de combler un manque affectif ou professionnel
    • le besoin de repousser sans cesse ses limites
    • la sécrétion d’endorphine

    Cette dernière cause citée est sans aucun doute la principale : en effet, cette molécule produite naturellement par le corps humain permet de parvenir au « runner high », à savoir l’ivresse du coureur. Les sportifs qui souffrent de bigorexie cherchent compulsivement à atteindre cette sensation de bien être et de plénitude, et finissent par ne courir qu’après cela.

    Ils mettent leur vie entre crochets, sacrifiant vie personnelle et professionnelle pour atteindre leurs objectifs. Toujours plus, tout le temps, c’est à peu près ainsi que l’on peut résumer leur addiction. Plus de symptômes à consulter via cette page.

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    Quels sont les symptômes d’alarme ?

    Très peu de sportifs souffrant de bigorexie vont consulter ou se font soigner. L’entourage a donc un rôle primordial à jouer dans la prise en charge de cette maladie. Voici une liste non exhaustive des symptômes qui doivent donner l’alerte :

    • une perception altérée de soi-même : le sportif se plaint d’être trop maigre malgré une musculature déjà très développée
    • des règles très strictes imposées envers soi-même : les entraînements prennent une place accrue dans la journée et la semaine, de même que les prises de compléments alimentaires
    • sentiment de culpabilité intense quand la personne manque ou ne parvient pas à faire tous les entraînements auto-imposés
    • poursuite des entraînements malgré les blessures, dues à un manque de récupération
    • vie personnelle et professionnelle sacrifiées

    Lisez ici les critères de l’addiction.

    Que faire pour sortir de cette addiction ?

    Si vous constatez qu’un de vos proches, ou si vous remarquez que vous souffrez de ces symptômes, alors il est important de sortir de cette phase de déni spécifique à la bigorexie. Une guérison est totalement possible du moment que la personne admet et reconnaît sa dépendance.

    Pour cela, tournez-vous sans attendre vers un psychologue ou un médecin addictologue. Le traitement préconisé est un réajustement des entraînements, où la personne réapprend à soigner sa vie sociale et professionnelle, en organisant son emploi du temps de façon équilibrée. Les entraînements prennent désormais en compte les phases de récupération dont a besoin le corps pour produire du muscle, et éviter les risques de blessure et déchirure musculaire.

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      Solutions pour soigner les dents sensibles

      Vous avez  les dents sensibles qui vous font sursauter quand vous consommez quelque chose de froid, de chaud, d’acide ou autre ? Des milliers de personnes sont dans le même cas et heureusement qu’il y a des solutions pour venir à bout de ce genre de désagrément.

      Évidemment, un bon dentiste que vous pourrez contacter via ce lien est vivement recommandé si le problème est grave. Mais vous pouvez aussi améliorer votre quotidien à travers quelques soins et quelques bons gestes à adopter.

      Dents sensibles : comprendre la source du problème

      SOLUTIONS POUR SOIGNER LES DENTS SENSIBLES

      Il faut toujours comprendre les raisons de l’hypersensibilité dentinaire (oui, c’est le terme exact pour définir ce problème) avant d’espérer trouver une solution efficace. Et c’est valable, que vous décidiez d’aller tout de suite consulter un dentiste ou d’essayer des remèdes maisons.

      Sachez alors que cette grande sensibilité quand on consomme un aliment chaud, froid, acide, sucré ou autre, est due à un souci au niveau de la dentine. Ce tissu dentaire peut être tellement sensible que la personne se fait surprendre par une douleur aiguë à une simple aspiration d’air.

      En règle générale, cette hypersensibilité résulte d’un trouble survenant au niveau de la dentine à cause d’une mauvaise hygiène bucco-dentaire. La dentine peut alors comporter de nombreux petits trous, ce qui accroît la sensibilité dentaire de manière exponentielle.

      En plus d’une hygiène bucco-dentaire insuffisante, d’autres problèmes peuvent être à l’origine de l’hypersensibilité des dents :

      • Racines des dents à découvert à cause d’une inflammation des gencives
      • Dentine à découvert à cause de l’érosion de l’émail
      • Usure de l’émail et de la dentine à cause du bruxisme
      • Rétraction des gencives à cause d’un brossage trop agressif des dents
      • Caries
      • Inflammation passagère à la suite d’un détartrage

      Que faire pour soigner les dents sensibles ?

      SOLUTIONS POUR SOIGNER LES DENTS SENSIBLES

      Maintenant qu’on a bien compris le pourquoi du comment de l’hypersensibilité des dents, voyons quelles sont les solutions pour en venir à bout. La première solution est évidemment de prendre quotidiennement soin des dents et de la cavité buccale en général.

      En effet, les bactéries sont en grande partie responsables de l’hypersensibilité dentaire. Elles sont à l’origine des caries et des inflammations des gencives. Le brossage des dents après chaque repas est donc primordial. Mais pour être efficace, le brossage doit se faire avec les bons gestes. Les faces internes et externes des dents nécessitent un nettoyage en bonne et due forme après chaque repas. Le nettoyage est tout aussi indispensable entre les deux où se logent beaucoup de résidus alimentaires.

      L’alimentation est un autre paramètre à surveiller de près pour préserver les différentes couches protectrices des dents. Nous savons tous que le sucre est l’un des principaux ennemis de nos dents. Les bactéries qui s’attaquent aux dents se nourrissent en effet de sucre, car le sucre leur permet d’envahir plus rapidement la cavité bucco-dentaire. Ainsi, après la consommation d’aliments sucrés, on doit immédiatement se brosser les dents pour éviter l’apparition des caries.

      Les aliments acides contribuent également à l’érosion des dents et à la sensation de dents sensibles. Le caractère acide des aliments détériore en effet l’émail et expose la dentine au contact des éléments extérieurs comme le froid, le chaud, etc. Évitez ainsi de manger tous les jours des produits dont l’acidité est élevée.

      Plusieurs facteurs peuvent être à l’origine de la sensation de dents sensibles, mais l’hygiène bucco-dentaire y est pour quelque chose en règle générale. Bien se nettoyer les dents et la cavité buccale permet donc d’éviter ce genre de souci. Et pour un nettoyage optimal, consultez un dentiste pour qu’il vous conseille sur les bons produits et les bonnes brosses à dents à utiliser.

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        Comment se blanchir les dents naturellement ? 

        Vous avez du mal à retrouver la blancheur de votre sourire, malgré les soins que vous apportez à vos dents ? En effet, même si l’on respecte les conseils de santé buccale, et que l’on se brosse les dents après chaque repas, ce n’est pas toujours évident d’afficher un sourire rayonnant.

        Celui-ci dépend en effet de nos habitudes alimentaires, de notre consommation de thé, de café et de tabac. Pour éviter d’avoir sans cesse recours à a solution de détartrage chez le dentiste, nous vous donnons tous nos meilleurs conseils pour vous blanchir les dents de façon efficace, et surtout naturelle ! Plus d’astuces en cliquant ici.

        Pourquoi nos dents jaunissent-elles ?

        Avant de se blanchir les dents efficacement, il s’agit de comprendre les causes du jaunissement des dents. Tout d’abord, il faut savoir que la cause principale de l’érosion des dents est le vieillissement. Seconde cause, notre alimentation. L’émail de nos dents est légèrement poreux : il est donc très sensible à ce que nous mangeons, mais également aux variantes de températures, chaudes et froides.

        Certaines tâches comme celles provoquées par les aliments colorés comme les fruits ou le chocolat sont faciles à faire partir, avec un simple brossage. Mais d’autres tâches comme celles dues au café ou au tabac jaunissent les dents de façon durable. C’est donc pour cette raison que vous pouvez avoir recours à des solutions plus naturelles, qui vont moins attaquer l’émail dentaire, comparées aux solutions chimiques proposées chez le dentaire.

        Pour consulter plus de renseignements sur les facteurs responsables des dents jaunes, lisez cet article.

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        Et si vous faisiez votre dentifrice vous-même ?

        La solution idéale pour se blanchir les dents, c’est de remplacer les dentifrices industriels par ceux que l’on peut faire soi-même, avec des ingrédients qui ont des propriétés naturellement blanchissantes. Pour cela, vous pouvez par exemple :

        • trempez votre brosse à dents dans un mélange d’argile verte et de bicarbonate de sodium
        • ajoutez une goutte d’huile essentielle de citron ou de mandarine
        • brossez vous les dents de façon habituelle
        • terminez par un bain de bouche à l’infusion de menthe

        Le bicarbonate de sodium est un agent actif radical contre le tartre, tandis que l’acidité du citron va permettre d’éliminer le dépôt des tâches sur vos dents. Par ailleurs, la vitamine C contenue dans le citron va permettre de renforcer vos gencives.

        Un conseil, cependant, pour ne pas risquer d’attaquer l’émail dentaire, il ne faut pas se brosser les dents avec ce mélange plus de deux ou trois fois par mois.

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        Testez sans attendre l’astuce du charbon végétal

        Si vous souhaitez vous blanchir les dents de façon radicale, pas de doute il faut que vous testiez les effets du charbon végétal. Sa couleur sombre peut paraître paradoxale dans le cadre d’un blanchissement, mais ses principes actifs permettent de dissoudre les tâches tenaces sur vos dents. Le charbon végétal est obtenu grâce à la carbonisation de certains bois, et on l’utilise en Inde de façon courante pour blanchir les dents depuis des siècles.

        Pour profiter de ses vertus, il vous suffit d’ajouter un peu de charbon végétal en poudre sur votre dose de dentifrice habituel, puis de vous brosser les dents. Vous pouvez également frotter vos dents avec cette poudre, pour dissoudre plus rapidement les tâches tenaces.

        Toute l'équipe astuce-santé vous souhaite la bienvenue, cher internaute en quête de réponses. Et des réponses, nous en avons plein notre besace puisque nous veillons à communiquer, via les articles publiés sur ce blog, un maximum d'informations fiables et vérifiées concernant la santé, de l'alimentation jusqu'aux pratiques médicales dans tous leurs états. Peut-être cherchez vous à comprendre l'origine de vos maux ? Ou peut-être voulez-vous simplement en savoir plus sur les astuces à appliquer au quotidien pour être en bonne santé ? Nous vous souhaitons une agréable lecture et, le cas échéant, un bon rétablissement !

          Techniques au poil pour avoir les cheveux doux

          Mais comment avoir les cheveux doux ? Si seulement ils pouvaient rester beaux, brillants et soyeux de manière perpétuelle ! Plus besoin de les laver, plus besoin d’avoir recours à toutes sortes de méthodes pour qu’ils acceptent enfin d’abandonner leur allure cassante et revêche.

          Évidemment, ça serait un monde idéal… mais ne paniquons pas trop vite ! Il y a au moins autant de méthodes simples que de cheveux sur votre tête ! Cet article vous propose de faire le tour de la question en quelques étapes simples comme bonjour.

          Apprendre à prendre soin de ses cheveux

          Ne riez pas trop vite, la chose peut paraître évidente, et pourtant… se laver les cheveux, les sécher, les lisser ou les boucler, tous ces gestes de la vie quotidienne ne sont pas si anodins qu’ils n’y paraissent. Quand on se demande comment avoir les cheveux doux, la première chose est de se rendre compte que souvent, par manque d’attention, on adopte de mauvaises habitudes sans savoir qu’elles nuisent à nos cheveux.

          Vous les lavez tous les jours ? Vous vous dites sans doute que ça ne peut pas leur faire de mal. Erreur ! Le cuir chevelu et les cheveux eux-mêmes sont recouverts d’un film hydrolipidique, invisible à l’œil nu mais vital pour leur santé (et la vôtre !). Un lavage quotidien n’a pour unique effet notable que de supprimer ce film, ni plus ni moins.

          En conséquence, vos cheveux réagiront très mal : s’ils sont d’ordinaire secs, ils se dessécheront plus encore ; et s’ils ont une tendance grasse, le cuir chevelu dénudé de son film produira encore plus de sébum pour se protéger des produits que vous lui infligez chaque jour !

          Alors, comment avoir les cheveux doux ? Réponse : se laver les cheveux est important, mais le mieux est d’attendre le plus longtemps possible pour le faire (moins d’une semaine, de préférence !) Enfin, puisque le lavage ne fait pas tout : faites également attention à la manière dont vous allez sécher votre crinière !

          Tout le monde ne supporte pas de laisser les cheveux sécher à l’air libre ; c’est pourtant la meilleure chose à faire pour avoir les cheveux doux ! Le sèche-cheveu et les fers à lisser, à boucler ou autres, sont nocifs et les rendent cassants, surtout si vous les employez souvent !

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          Un masque capillaire pour des cheveux doux

          La meilleure réponse à l’interrogation : comment avoir les cheveux doux, est de suggérer un masque capillaire ! Ce dernier se décline sous de nombreuses formes. Vous pouvez vous-mêmes en inventer ; il suffit d’utiliser un produit naturel gras qui soit susceptible de nourrir votre cuir chevelu. Mais bien entendu, certains produits gras sont infiniment plus recommandables que d’autres !

          En voici quelques exemples :

          • Masque à la gélatine : utilisez simplement de l’eau bouillante et de la poudre de gélatine. Les protéines contenues dans cette dernière rendent à vos cheveux toute leur brillance et leur confère une douceur totale
          • Masque à la mayonnaise : parfait pour les cheveux secs, ce masque est riche en œufs et en huile végétale, des produits que l’on retrouve aussi dans les champoings conventionnels. Si vous vous demandez comment avoir les cheveux doux, cette technique 100% naturelle pour nourrir votre cuir est à nulle autre pareille. Bien entendu, n’oubliez pas de bien rincer vos cheveux après ce masque !
          Open eggs
          Open eggs

          Lotions et bains d’huiles en tous genres

          Si vous voulez savoir comment avoir les cheveux doux, tenez-vous bien, car ces méthodes pourraient vous surprendre. Sachez que la bière s’avère un produit particulièrement efficace pour lustrer et gainer le cheveu. Une bière (biologique de préférence) pourrait donc vous servir comme après-shampoing. Versez le contenu sur votre tête après vous être lavé les cheveux, laissez agir quelques minutes puis rincez. Effet garanti !

          D’autres produits étonnant fonctionnent d’ailleurs tout aussi bien. Cliquez ici pour en savoir plus !

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            Bien comprendre le trouble bipolaire

            Le trouble bipolaire est un trouble de l’humeur. Pour le définir, on parle également de trouble maniaco-dépressif. En quelques mots, cette maladie consiste pour la personne atteinte en un changement radical d’humeur, caractérisé par des phases de joie et de colère poussées à l’extrême.

            Il n’est pas rare de rencontrer des personnes qui pensent être atteintes de bipolarité parce que la description des symptômes corrobore avec leur personnalité. Toutefois, l’ampleur des signes annonciateurs du trouble est telle qu’il est impossible, cliniquement, de confondre une personne saine et une personne touchée.

            Étapes de la maladie

            La personne atteinte traverse généralement trois phases, qui peuvent être plus ou moins longues et ce, à des degrés divers. Ces trois phases constituent un cycle. Un maniaco-dépressif connaît en général quatre cycles au cours d’une année. Au-delà de quatre, on considère qu’il subit des cycles rapides.

            Young woman holding smiling face (digital composite)

            Phase maniaque

            C’est la phase d’excitation pathologique du trouble bipolaire. La personne concernée se trouve dans une humeur exagérément joyeuse. Cette joie ne doit pas être prise pour a bonne humeur de celles et ceux qui se sentent bien et motivés dans leur vie. Il s’agit là bel et bien d’un symptôme. Il va bien souvent élaborer des projets complètement fous, sans se rendre compte que leur concrétisation est inenvisageable.

            Il va également présenter une capacité à parler vite et de tout, donnant l’impression d’avoir un cerveau survolté. Ses mots s’emboîtent les uns dans les autres car il parle trop vite, au point qu’il devient parfois difficile de comprendre ce qu’il dit. Cette phase peut le mettre en péril de diverses manières. Par exemple, certains maniaco-dépressifs, emportés par leur volubilité, dépensent sans compter.

            Phase dépressive

            En entrant dans cette phase de trouble bipolaire, la personne touchée ressentira une immense détresse. À même de culpabiliser, jurant qu’il souffre d’une maladie incurable, allant jusqu’à croire qu’il mérite la mort, le malade traverse alors des crises de larmes, de réflexions excessivement négatives sur son existence.

            Sa capacité à penser est obstruée par la dépression. Il devient inattentif et le seul fait de formuler des phrases peut être vécu comme un fardeau. Il n’est pas rare qu’il ne parle pas du tout, qu’il se renferme sur lui-même et ressente une fatigue physique insurmontable, liée à sa détresse mentale. Le suicide peut alors lui apparaître comme seule solution envisageable au mal qui l’afflige.

            Phase euthymique

            Dans ces moments, le souffrant retrouve un semblant de normalité. La dépression et les épisodes maniaques n’envahissent pas son existence mais ce calme apparemment retrouvé reste pourtant considéré comme un symptôme. De plus, il peut être difficile pour un maniaco-dépressif en période euthymique de faire le bilan des frasques commises au nom de son trouble bipolaire. Il peut notamment se rendre compte du mal qu’il a fait autour de lui ainsi qu’à lui-même.

            Guérir le trouble bipolaire

            Si les causes de la maladie sont encore mal comprises, les traitements ont été affinés par les chercheurs et ont déjà fait leurs preuves à certains niveaux.

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            Le traitement par thérapie

            La psychothérapie, notamment, a pour objectif d’aider une personne bipolaire à prévenir et à gérer ses périodes de crise. Le style de vie étant bien souvent un facteur d’exacerbation des symptômes de trouble bipolaire, le thérapeute peut aider le malade à travailler sur sa manière de réguler le sommeil, les repas, le sport et la vie quotidienne en général.

            Le traitement médicamenteux et biologique

            Les stabilisateurs d’humeur sont en quelques sortes le meilleur allié du bipolaire. Ce dernier doit à tout prix éviter les médicaments réputés pour leurs vertus soit excitantes, soit calmantes. L’intérêt des stabilisateurs est qu’ils donnent à l’humeur un juste milieu. Ils la contiennent dans les limites du raisonnable et garantissent un amoindrissement des symptômes. Les trois principaux stabilisateurs sont le Tégretol, l’Épival et le Lithium.

            Toute l'équipe astuce-santé vous souhaite la bienvenue, cher internaute en quête de réponses. Et des réponses, nous en avons plein notre besace puisque nous veillons à communiquer, via les articles publiés sur ce blog, un maximum d'informations fiables et vérifiées concernant la santé, de l'alimentation jusqu'aux pratiques médicales dans tous leurs états. Peut-être cherchez vous à comprendre l'origine de vos maux ? Ou peut-être voulez-vous simplement en savoir plus sur les astuces à appliquer au quotidien pour être en bonne santé ? Nous vous souhaitons une agréable lecture et, le cas échéant, un bon rétablissement !

              Comment vivre avec la schizophrénie ?

              Partout où l’on se trouve, on entend parler de ce trouble psychotique sévère, dont les symptômes ont tôt fait de faire perdre pied avec la réalité et peuvent avoir un effet ravageur, aussi bien sur le malade que sur son entourage. Dans l’optique de surmonter cette épreuve, il existe de nombreux paramètres à prendre en compte, à commencer par la nécessité de bien comprendre cette pathologie pour mieux en cerner les effets secondaires et prévenir les situations susceptibles d’exacerber le phénomène.

              Comprendre la schizophrénie

              On a tendance à l’associer à d’autres troubles. Mais c’est comme dire d’un footballeur qu’il est rugbyman. Le schizophrène n’est pas un bipolaire, ni un paranoïaque. Cette maladie n’est pas non plus un trouble dissociatif de l’identité. Ce dernier est un trouble mental bien spécifique, dont les symptômes sont parfois décrits par les patients comme similaires à ceux décrits par les schizophrènes.

              Il est donc facile de mélanger les pathologies. C’est pourquoi une recherche approfondie sur les spécificités de cette maladie ainsi que sur les conséquences qu’elle entraîne sur l’individu concerné s’avère prioritaire. Il est essentiel de retenir que la schizophrénie touche au cerveau et peut être prise en charge par la médecine moderne. La thérapie ainsi qu’une cure médicamenteuse sont les principales armes avec lesquelles ont l’affronte.

              Des symptômes difficiles à accepter

              Quand on est en bonne santé, il peut s’avérer étrange, voire impossible, de se mettre à la place d’un membre de notre famille atteint de schizophrénie. Les hallucinations et les illusions auxquelles il est sujet peuvent même nous laisser perplexes. Il n’est d’ailleurs par rare que, même avec tout l’amour du monde, une famille ou un entourage ne prenne pas très au sérieux les délires du malade.

              L’hallucination est caractérisée par le fait de voir ou d’entendre des choses qui ne sont pas là, qui n’existent pas. Un schizophrène peut, par exemple, voir des personnes, des objets, des choses que personne d’autre ne sera à même d’observer.

              L’illusion, qui est un autre symptôme de la maladie, consiste en une conviction obsessionnelle. La schizophrénie peut pousser le malade à croire qu’une personne peut lire dans ses pensées, ou encore que quelqu’un est à ses trousses et lui veut du mal.

              Ces deux phénomènes très singuliers peuvent pousser la personne qui en souffre à se mettre en danger. Ils ne sont donc certainement pas à prendre à la légère et doivent être surveillés de très près. Mais ils ne sont pas les seules manifestations du mal.

              Une perte de motivation, de motricité, de mémoire, des changements soudains d’humeur, la dépression, sont autant de signes symptomatiques de la schizophrénie. Là encore, ils peuvent être mal interprétés. C’est pourquoi l’aide et l’accompagnement d’un médecin peuvent s’annoncer salvateur dans la compréhension et la prise en charge du trouble.

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              Un traitement sous plusieurs formes

              Avant de commencer un traitement, il est important de comprendre qu’on ne guérit pas de la schizophrénie. On peut en revanche faire en sorte de mieux vivre avec elle. Certains patients voient même la totalité de leurs symptômes disparaître, à partir du moment où ils suivent leur traitement avec rigueur et de façon régulière.

              En France, 50% des personnes traitées voient leur état de santé s’améliorer considérablement. C’est donc beaucoup, mais ce n’est pas total. Pour cette raison, le traitement doit toujours être agrémenté d’un suivi psychologique, de thérapies psychosociales, de l’accompagnement d’un expert qui saura réconforter, guider et être à l’écoute.

              Il faut toutefois garder en tête que la personne schizophrène ne guérira pas forcément. L’amour et le soutien de son entourage seront les meilleurs moteurs favorisant son bien-être et son rétablissement, mais il est important de comprendre que la maladie peut rester présente, que ce soit de manière sporadique ou profonde. Accepter son existence est un premier pas vers l’amélioration de la vie du malade.

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              Vivre avec une personne schizophrène

              La schizophrénie doit d’abord être comprise, puis elle doit être traitée. Et enfin, il est essentiel pour les personnes dans l’entourage ou dans la famille proche du malade de savoir comment agir. Imprévisible, cette maladie demande de l’attention et une réaction appropriée. En voici quelques exemples :

              • Guetter la rechute : perte de sommeil, d’appétit, d’intérêt… ces signes avant-coureurs d’une crise doivent entraîner de votre part une action immédiate. Appeler le médecin traitant est la meilleure solution.
              • Orchestrer le traitement : le malade peut se montrer réticent ou peu rigoureux dans la prise de son traitement, vous devez donc impérativement surveiller celui-ci de très près !
              • Assainir son style de vie : empêchez au malade de consommer de la drogue ou de l’alcool à l’excès. Ce sont les pires ennemis du schizophrène. Proposez-lui de vous balader et veillez à ce qu’il se nourrisse sainement !
              • Ne vous montrez pas trop curieux : la schizophrénie et ses symptômes ont un aspect étrange qui peut fasciner. Mais poser au patient des dizaines de questions sur les voix qu’il entend est contre-productif. Préférez faire preuve d’un détachement serein qui le mettra à l’aise.

              Toute l'équipe astuce-santé vous souhaite la bienvenue, cher internaute en quête de réponses. Et des réponses, nous en avons plein notre besace puisque nous veillons à communiquer, via les articles publiés sur ce blog, un maximum d'informations fiables et vérifiées concernant la santé, de l'alimentation jusqu'aux pratiques médicales dans tous leurs états. Peut-être cherchez vous à comprendre l'origine de vos maux ? Ou peut-être voulez-vous simplement en savoir plus sur les astuces à appliquer au quotidien pour être en bonne santé ? Nous vous souhaitons une agréable lecture et, le cas échéant, un bon rétablissement !

                Dire stop au tabac, une épreuve dont vous pouvez sortir vainqueurs

                Près de 16 millions de Français sont fumeurs. Ce chiffre témoigne du très fort pouvoir d’attraction et d’addiction qu’exerce le tabac sur l’esprit humain. Mais ce qui détonne d’autant plus, c’est qu’une large moitié de ces fumeurs ont envie d’arrêter. Demandez à n’importe quelle personne qui est accro dans votre entourage.

                Elle énumèrera certainement les nombreuses méthodes qu’elle connait (et qu’elle a sans doute essayées) pour arrêter de fumer. Tout est question de persévérance. Cet article vous propose de faire un tour des bonnes raisons et méthodes pour dire stop au tabac.

                En finir avec les excuses

                Ce qu’il y a de plus difficile avec le tabac, c’est qu’en parallèle de cette volonté bien réelle d’arrêter de fumer il y a le manque qui, d’abord naissant puis extrême, vous fait perdre toute notion de danger. Très vite, il devient plus facile de trouver des raisons qui justifient l’acte de fumer, que de continuer à se battre pour arrêter.

                C’est mon choix

                Une excuse commune et tout à fait compréhensible. L’impression d’avoir le choix est bel et bien là. Quand on arrive dans un bureau de tabac et que nos yeux se mettent à scanner l’étalage du buraliste, on se dit bien qu’on pourrait tourner les talons, s’en aller, dire stop au tabac… après tout il n’est pas trop tard, le vendeur ne nous a pas encore vus ! Seulement voilà, qui a déjà tourné les talons ? Le besoin d’acheter pour consommer prend le pas sur la volonté.

                Tout le monde fume

                Cette excuse en appel à l’entourage d’un fumeur. Le produit en lui-même procurant une addiction, tout le monde est exposé à ses dangers. Autrement dit, tout le monde peut se sentir attiré et par conséquent, tomber dans le piège. Ainsi, de nombreux fumeurs sont pris au piège à la fois par la cigarette, et par l’entourage de fumeurs qui donne au processus un sentiment d’irréversibilité, rendant futile la volonté de dire stop au tabac

                Fumer, c’est social

                Bien entendu, c’est une fausse affirmation. Car la sociabilité n’a à voir qu’avec la personnalité. Fumer peut donner l’impression, dans certains groupes, d’être normal. De plus, le fumeur perçoit son addiction comme un plaisir et l’associe donc à tout ce qui a très aux plaisirs de la vie… notamment, donc, à la vie sociale. Dire stop au tabac lui apparaît comme une manière de dire stop aux amis !

                Stop Smoking!
                Stop Smoking!

                Prendre son mal en patience

                On le dit souvent et c’est un fait prouvé, les premières semaines du sevrage de la cigarette sont les plus difficiles. Le besoin de fumer, lorsqu’il n’est pas assouvi, entraîne une réaction psychologique pouvant s’avérer violente. Les premiers symptômes sont ceux d’un sentiment de sommeil impossible. Le cerveau monopolise toutes ses forces sur le manque qu’il ressent. Le sommeil est traité comme une information à traiter plus tard, tandis que l’envie de fumer devient un dossier classé « urgentissime ».

                Avec le sommeil impossible vient une nervosité extrême. Il peut par exemple s’agir de tensions très fortes dans les jambes et, bien entendu, d’une humeur massacrante. Tout, du moindre petit bruit à l’apparence de quelque chose, peut vous mettre en rogne.

                Enfin, le besoin de fumer est compensé par le plaisir de manger. Outre le fait que le tabac soit un brûleur de graisse réputé, le retour en force de la faim à l’arrêt de la cigarette explique en partie la fameuse prise de poids qui survient toujours. Dire stop au tabac est donc loin d’être de tout repos !

                Des techniques pour dire stop au tabac

                Elles sont nombreuses et ne marchent pas toujours, en fonction des personnes. Pour commencer, si vous êtes fumeurs, la meilleure chose à faire est de fixer une date d’arrêt. Sans date d’arrêt bien définie, vous pouvez continuer à vous bercer indéfiniment de douces illusions ! Car le cerveau trouvera toujours un moyen de repousser le moment où il lui faudra subir cette rude épreuve du manque…

                Une fois que vous aurez arrêté, il vous faudra redoubler de malice pour combler le manque et définitivement dire stop au tabac. Par exemple, certaines personnes boivent un verre d’eau à chaque fois qu’elles ont envie de fumer. D’autres pratiquent le sport. Le plus important est d’éviter les lieux où les fumeurs se retrouvent nombreux : aux terrasses des restaurants par exemple.

                Tous les lieux vous rappelant l’époque où vous fumiez sont à proscrire. De même, les objets, la nourriture, ou les activités vous rappelant la cigarette méritent que vous vous en teniez éloignés pendant un moment. Par exemple, les soirées entre amis, ou même le café matinal, que vous accompagniez toujours d’une bonne cigarette…

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                Sans oublier cette petite technologie bien célèbre qui pourra vous aider progressivement !

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                  Comment avoir la peau douce : les astuces qui marchent !

                  Ce n’est pas toujours facile d’avoir la peau douce, et encore plus quand on rentre dans la période hivernale. L’épiderme est soumis à de nombreuses agressions : la peau du visage est exposée au vent, au soleil ou encore aux températures parfois très froides.

                  Le calcaire, présent dans l’eau, assèche également notre peau et la rend plus fragile. Comment lutter au quotidien et ainsi retrouver notre peau de bébé ? Voici quelques astuces simples pour vous aider à retrouver une peau douce et plus éclatante.

                  Prendre soin de sa peau au quotidien

                  Pour avoir la peau douce, une chose est sûre, vous allez devoir prendre soin d’elle au quotidien. Souvent, la peau se retrouve asséchée parce qu’elle n’a pas reçu une dose d’hydratation suffisante. Il faut donc que vous ayez dès à présent les bons réflexes : quand votre peau tiraille, cela veut dire que la couche de l’épiderme est déjà bien abîmée.

                  Il faut donc commencer par exfolier votre peau pour éliminer toutes les peaux mortes et autres résidus. En exfoliant votre peau, vous allez déjà retrouver une certaine sensation de douceur. Vous pouvez faire un gommage maison, avec quelques ingrédients que vous trouverez facilement dans votre placard :

                  • Mélangez quelques cristaux de sel dans votre gel douche
                  • Frottez l’ensemble de votre corps avec le mélange, sous la douche, une fois par semaine

                  Pour le visage, mettez quelques cristaux de sel dans un gel ou une lotion adaptée pour le visage pour ne pas risquer d’endommager votre peau du visage qui est plus fragile.

                  Pour plus d’idées de gommages à réaliser soi-même, cliquez ici.

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                  Avoir le bon réflexe à la sortie de la douche

                  Vous rêvez d’avoir la peau douce tous les jours ? Dans ce cas, il faut hydrater votre peau régulièrement, et en conséquence. En effet, il s’agit de réhydrater la peau dès la sortie de l’eau, que ce soit la douche, la piscine ou, plus encore, après un bain de mer. Pour ce faire, séchez votre peau délicatement avec une serviette, puis hydratez la peau de votre corps avec une formule adaptée.

                  Pour réaliser votre crème hydratante maison, découvrez des idées de recettes ici. Si vous avez la peau très sensible, utilisez une crème pour peau sèche, si vous avez une peau mixte à grasse, faites le choix d’une crème pour le corps qui correspond à vos besoins en hydratation.

                  En tous les cas, vous devez veiller à ne pas laisser votre peau s’assécher. Prenez également l’habitude d’avoir toujours dans votre sac une crème hydratante pour les mains, ou un baume à lèvres : de la sorte, dès que les sensations de tiraillements apparaissent vous pourrez facilement réhydrater votre peau.

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                  Réhydratez en profondeur avec les bains d’huile

                  Votre peau est en manque d’hydratation intense ? Dans ce cas, il existe une solution imparable pour avoir la peau douce, et soulager les tiraillements. Commencez par appliquer une huile particulièrement hydratante, comme l’huile d’avocat, de jojoba, ou d’amande douce. Si vous n’avez aucune de ces huiles dans votre placard, vous pouvez tout à fait utiliser de l’huile d’olive, celle-ci a également de très fortes vertus nourrissantes.

                  Pour découvrir d’autres solutions naturelles pour une peau toute lisse, consultez cette page. Appliquez l’huile sur l’ensemble du corps, puis enfilez une tenue en coton pour ne pas risquer de tacher vos draps ou tout autre tissu. Le mieux est de laisser poser toute la nuit, pour que les tissus de la peau soit régénérés en profondeur. Le lendemain, douchez-vous et hydratez votre peau comme à votre habitude. Grâce aux bains d’huile, vous pourrez apprécier la douceur de votre peau, comme aux premiers jours !

                  Toute l'équipe astuce-santé vous souhaite la bienvenue, cher internaute en quête de réponses. Et des réponses, nous en avons plein notre besace puisque nous veillons à communiquer, via les articles publiés sur ce blog, un maximum d'informations fiables et vérifiées concernant la santé, de l'alimentation jusqu'aux pratiques médicales dans tous leurs états. Peut-être cherchez vous à comprendre l'origine de vos maux ? Ou peut-être voulez-vous simplement en savoir plus sur les astuces à appliquer au quotidien pour être en bonne santé ? Nous vous souhaitons une agréable lecture et, le cas échéant, un bon rétablissement !